Périple en Bus- Part 2

Nous voilà reparties pour la dernière étape du voyage direction Buenos Aires, un petit trajet plein de surprises de 18 heures en bus nous attendait...

Le premier étonnement fut le minuscule sandwich pré-emballé qui nous a été remis a la montée dans le bus. On était loin du jambon-beurre parisien et en bonnes françaises nous avons ralé a la vue de ce repas frugal...

Le second étonnement fut quand nous l'avons mangé, aussi mauvais qu'il en avait l'air. Une heure après avoir ingurgité ce succulent repas, a notre grande surprise nous nous arrêtames dans une Parilla (restaurant spécialisé dans la viande grillé) pour la cena (le dîner). Une fois le dîner pris, nous roulames 20 minutes avant que Mokket dégobille (désolé y'a pas d'autres termes!) les repas pris! Je dois (c'est Mandy qui parle) lui reconnaître le mérite d'avoir fait ça proprement et sans trop de désagréments pour ma personne! Merci Mokket!

La fin du voyage a été plus qu'éprouvant pour notre Mokket nationale et l'arrivée a Buenos Aires était plus qu'attendue.

Une fois sur place, nous fumes déçue de notre hébergement, on s'était payé le luxe d'une chambre Twin avec SDB privative, v'la tipa qu'on nous colle une nouvelle fois dans un dortoir pour 4 avec en prime non pas des colocataires étrangers mais des cucarachas! Sympa Buenos Aires...

Comments

[Steph]

Heureusement qu'il vous restaient les délices culinaires argentines et l'alcool à l'arrivée!

[Steph]

Ben mince! alors! :-( Désolée pour vous les filles!!!!

[Sonia]

Pauvre Mokket. J'espère que ça va mieux, malgré les cucarachas!

[Puceausauvagedu75]

Oui, je propose une désinfection totale des deux protagonistes avant de rentrer!
Ni ebola ni cucarachas, merci!

[Les frisées (Mandy & Mokket)]

Tu m'étonnes! Sur ce coup la, tu nous a manqué avec ta planche a découper...

[grinette]

je suis solidaire avec Mokket sur ce terrain là. je sais ce que sais que d'avoir " des désagréments intestinaux". Fidèle à sa nouvelle personnalité, elle a dignement surmonté cette situation peu glorieuse et peu ragoutante.
concernant les invités surprises, mon inculture en espagnol ne m'a pas permis de prendre conscience immédiatement de la valeur de ces derniers compagnons mais avec l'aide de ma traductrice préférée, j'ai enfin également compris que vous n'étiez pas avec des chanteurs avec sombreros et banjos. Par contre, si nous n'étions pas opposé à ce que vous rameniez Diego et Ernesto, ce serait sympa de laisser vos nouveaux amis autochtones à Buenos Aires. Bizzzzzzzzzzzzzz